Post-doctorat en théorie quantique des champs

La récente augmentation des données expérimentales issues du Grand Collisionneur de Hadrons (LHC) et de la nouvelle génération de détecteurs d’ondes gravitationnelles offre une opportunité sans précédent pour tester le Modèle Standard de la physique des particules et la théorie de la relativité d’Einstein. Atteindre cet objectif nécessite des méthodes puissantes pour obtenir des prédictions théoriques de haute précision pour les observables concernés. L’objectif principal de ce poste postdoctoral est de faire progresser la frontière des calculs de précision en physique théorique. Le candidat retenu sera chargé de : - Développer de nouvelles méthodes pour le calcul d’amplitudes de diffusion multi-boucles et de multiplicité élevée, ainsi que d’intégrales de Feynman. - Effectuer des calculs de haute précision d’observables en QCD, dans les théories de jauge supersymétriques et en gravité classique et quantique. - Explorer les structures analytiques et algébriques cachées des observables à l’aide des techniques modernes en physique théorique et mathématique. Activités - Mener des recherches originales dans le cadre du projet ANR Observables. - Rédiger et publier des articles scientifiques dans des revues internationales de premier plan. - Présenter les résultats de recherche lors d’ateliers et de conférences internationales. - Participer activement aux collaborations avec les institutions partenaires du projet. La recherche sera menée en étroite collaboration avec Dr Dmitrii Chicherin (LAPTh, Annecy), dans le cadre du projet ANR Observables. Compétences - Solide connaissance de la théorie quantique des champs et des approches modernes des amplitudes de diffusion perturbatives. - Expérience pratique dans le calcul d’intégrales de Feynman. - Maîtrise des systèmes de calcul formel utilisés en physique théorique. - Capacité à travailler de manière autonome et en collaboration dans un environnement de recherche international. - Initiative, rigueur scientifique et engagement pour une recherche de haute qualité. - Bon niveau d’anglais (oral et écrit). Contexte de travail Ce poste est financé par le projet ANR Observables (ANR-24-CE31-7996). Le projet regroupe quatre chercheurs permanents — Dmitrii Chicherin (LAPTh), Gregory Korchemsky, Didina Serban et Pierre Vanhove (IPhT, CEA-Saclay) — ainsi qu’un chercheur postdoctoral (Alessandro Testa). Le projet vise à développer de nouveaux outils théoriques pour le calcul des amplitudes de diffusion avec un grand nombre de particules externes en théorie quantique des champs perturbative, pour les interactions de jauge et gravitationnelles. Il se concentre sur trois grandes classes d’observables : Amplitudes de diffusion multi-boucles et à multiplicité élevée, Corrélations d’énergie en QCD et physique des jets, Émission d’ondes gravitationnelles par des systèmes binaires. L’objectif global est d’obtenir de nouveaux résultats analytiques pour ces observables et de révéler les structures mathématiques cachées sous-jacentes aux théories de jauge et de gravité, en s’appuyant sur les avancées récentes dans le domaine des « Amplitudes », de l’intégrabilité et des méthodes algébriques et géométriques. Le chercheur postdoctoral sera basé au laboratoire CNRS LAPTh (Laboratoire d’Annecy-le-Vieux de Physique Théorique, Annecy-le-Vieux, France) et rejoindra l’équipe Physique Mathématique (Champs, Cordes, Symétries), qui compte sept chercheurs permanents. Le CNRS propose une offre de services en matière de ressources humaines et d’action sociale qui comprend notamment les prestations suivantes : - prise en charge partielle des abonnements de transport en commun - offres culturelles et loisirs via le Comité d’Actions et d’Entraide Sociale (CAES) - durée de travail hebdomadaire à temps complet : 38h30 - télétravail à raison de 2 jours par semaine (sous conditions) - 45 jours de congés annuels, RTT inclus. Ce poste est financé par le projet ANR Observables (ANR-24-CE31-7996). Le projet regroupe quatre chercheurs permanents — Dmitrii Chicherin (LAPTh), Gregory Korchemsky, Didina Serban et Pierre Vanhove (IPhT, CEA-Saclay) — ainsi qu’un chercheur postdoctoral (Alessandro Testa). Le projet vise à développer de nouveaux outils théoriques pour le calcul des amplitudes de diffusion avec un grand nombre de particules externes en théorie quantique des champs perturbative, pour les interactions de jauge et gravitationnelles. Il se concentre sur trois grandes classes d’observables : Amplitudes de diffusion multi-boucles et à multiplicité élevée, Corrélations d’énergie en QCD et physique des jets, Émission d’ondes gravitationnelles par des systèmes binaires. L’objectif global est d’obtenir de nouveaux résultats analytiques pour ces observables et de révéler les structures mathématiques cachées sous-jacentes aux théories de jauge et de gravité, en s’appuyant sur les avancées récentes dans le domaine des « Amplitudes », de l’intégrabilité et des méthodes algébriques et géométriques. Le chercheur postdoctoral sera basé au laboratoire CNRS LAPTh (Laboratoire d’Annecy-le-Vieux de Physique Théorique, Annecy-le-Vieux, France) et rejoindra l’équipe Physique Mathématique (Champs, Cordes, Symétries), qui compte sept chercheurs permanents. Le CNRS propose une offre de services en matière de ressources humaines et d’action sociale qui comprend notamment les prestations suivantes : - prise en charge partielle des abonnements de transport en commun - offres culturelles et loisirs via le Comité d’Actions et d’Entraide Sociale (CAES) - durée de travail hebdomadaire à temps complet : 38h30 - télétravail à raison de 2 jours par semaine (sous conditions) - 45 jours de congés annuels, RTT inclus. Contraintes et risques Le poste est basé au laboratoire CNRS LAPTh, Annecy-le-Vieux (74940), France. Il peut nécessiter des déplacements ponctuels en Europe et à l’international pour des réunions de collaboration, ateliers et conférences. La recherche est de nature théorique et ne comporte aucun risque physique ou environnemental particulier. Le poste est basé au laboratoire CNRS LAPTh, Annecy-le-Vieux (74940), France. Il peut nécessiter des déplacements ponctuels en Europe et à l’international pour des réunions de collaboration, ateliers et conférences. La recherche est de nature théorique et ne comporte aucun risque physique ou environnemental particulier.